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Avis : Cities : Skyline 2

Avec la chute de la licence phare qu’était SimCity, Colossal Order est venu peu après avec sa propre licence de city-building qui s’est imposé, Cities : Skyline. Mais après 7 ans de service, il était temps pour le premier opus de tiré sa révérence pour laissé place au deuxième épisode qui s’annonce plus riche et poussé. Mais qu’en est il vraiment ? Ai-je bien apprécié Cities : Skyline 2 étant fan de ce genre ?

Joli panorama

Évidemment le premier truc qui saute au yeux est le visuel graphique du jeu qui est bien meilleur. Une meilleure visibilité, des bâtiments mieux détaillé, de meilleur reflet, animations et j’en passe. Le jeu est très joli et offre ainsi de beau panorama en mode cinématique. Surtout que le jeu possède une plus grande variété dans les bâtiments en plus d’offrir deux styles au lancement entre l’européen (finlandais, pays d’origine du studio) et l’américain.

Cela est également aidé par les cartes qui sont bien plus grande, et offre donc plus de place pour créer ses villes et banlieue voisine. Permet toujours plus de liberté et laissant le joueur joué avec les cartes disponible et leurs particularités. Reste qu’on a toujours une grille qui régit encore tout, chose que je trouve archaïque en 2023, mais peut-être encore trop compliqué de s’en défaire. Il y a donc pas de bâtiment autre que rectangulaire, résultat comme dans le premier jeu, si vous faite des routes courbés attendez vous à des petits triangle de vide entre les bâtiments.

Cities : Skyline 2 est riche en contenus

Une crainte qui avait été soulevé était de savoir avec quoi le jeu allait être lancé comme contenu, sachant que le premier possède une belle panoplie de DLC dont beaucoup ont influé sur le gameplay. Et bah c’est très simple, Cities : Skyline 2 reprend les DLC de façon partielle, mais ainsi le jeu est très bien équipé. Les transports sont là, la gestion des aéroports, le divertissement, l’industrie et bien autres. Et parfois des ajouts ont eu lieux avec par exemple de nouvelles options de gestions.

Évidemment il n’y a pas que des reprises d’ancien éléments, il y a aussi des nouveautés. Ainsi de nouveaux bâtiments font leurs arrivés, comme les centres de triage ferroviaire ou les bâtiments administratif. Ceci viennent ainsi changé certaine façon dont on gère certain éléments, apportant leurs nécessité, leurs bonus et malus. Mais en plus de cela, et c’est une des seules idées intéressante du dernier SimCity qui à flop, les améliorations de bâtiments.

Améliorations et outils

Avec ces améliorations il n’est plus nécessaire de construire 40 fois le même bâtiment plus satisfaire votre population. Il suffit juste d’amélioré votre bâtiment en lui ajoutant des extensions pour augmenté sa capacité, son rayon d’action et etc. Et cela concerne la quasi totalité des bâtiments de service, pompier, police, santé, école ou encore l’énergie et l’eau. Alors bien évidemment, cela demande de la place et d’y pensé dans son plan. Et de voir si le jeu ne va pas bugué et créer un problème de collision là où il n’y en a pas, chose malheureusement trop fréquente.

Autre éléments grandement amélioré, les outils de construction de route et de rail. Il est bien plus facile de créer des routes au design étrange ou de faire des échangeurs avec les nouveaux outils. Le snaping, le fait qu’un élément se colle automatique à un autre est bien mieux géré et désactivable ce qui offre une grande liberté. En plus le jeu apporte des outils de symétrie, de quadrillage ou encore gestion de carrefour.

Une simulation poussé, mais pas optimisé

Sur la partie simulation pur et dure, les développeurs ont été bien ambitieux et c’est très cool. La population vit, à divers besoin et capacité selon l’âge et le niveau de vie, ce qui permet de créer des quartier de divers style et niveau de richesse. Le trafic est aussi géré de nouvelle façon avec plus d’intelligence selon les dires du studios. Avec notamment l’ajout des accidents qui arrive selon l’entretien des routes et la météo.

Mais en réalité il y a de nombreux problèmes, le problème est que cette simulation est extrêmement gourmande. Dès que le jeu fonctionne et la partie n’est pas en pause, cela demande grosse capacité pour un PC. Alors je veut bien que mon PC ne soit pas au niveau de la configuration recommande, mais je suis bien au dessus de celle minimale, et pourtant la simulation tourne au ralenti constamment. Sans parlé des défauts de celle-ci, la valeur des terrains qui explose de manière globale et non local dans la ville, poussant à supprimé l’ensemble des zones faible densité vers de la haute, car les loyers sont trop chère. Ou encore du trafic, où les voitures changent de voie au dernier moment ou font des demi-tours aléatoire.

Complexe et flou

Il y aussi de nombreuses zones d’ombre, sur comment fonctionne réellement le système de production et comment est géré les ressources exploité localement. Car il est facilement d’avoir des surplus de bois, pétrole et minerais, mais cela est souvent exporté et non récupéré par l’industrie de la ville pour les transformer. Le fait qu’il ne soit pas possible de créer des quartiers spécialisé dans une industrie comme dans le premier jeu avec le DLC Industrie manque. Vous pouvez faire une zone d’exploitation de ressource, les industries qui s’implante autour ne seront pas forcément en lien avec celle-ci.

On peut également cité la gestion de l’eau qui est moins agréable que dans le premier opus, il arrive souvent qu’avec la terraformation l’eau inonde votre ville. Cependant, celle-ci ne s’évapore ou s’écoule pas, et ainsi reste surplace. La seule solution est de tout rasé et de terraformé pour bouché la cuvette où se trouve l’eau. De même, les entrées de tunnel proche de l’eau sont souvent inondé visuellement sans raison, heureusement sur cela n’est que visuel et n’impacte pas la circulation.

Bonne gestion de la progression dans Cities : Skyline 2

Enfin mentionnons le système de progression que possède le jeu, car lorsque vous commencé une partie tout n’est pas disponible directement, sauf en mode bac à sable. Le jeu comporte donc un système “d’arbre de compétence” qui se débloque selon votre niveau en expérience. Expérience qui se gagne en construisant route, bâtiment unique, zone et autres, mais aussi en gagnant de la population. En clair c’est très facile et non contraignant.

Vous passez alors de niveau en niveau et à chaque passage vous récupéré plusieurs choses. La plus simple est de l’argent, mais ensuite il y a deux “monnaies”. Une d’entre elle est une monnaie qui permet d’acquérir un droit d’acheté de nouvelles cases et ainsi agrandir sa ville. La seconde est des points de compétence qui permet de débloqué diverses choses nécessaire pour la ville. Vous pouvez débloqué de nouveau bâtiment de services comme les grands hôpitaux, les autoroutes, de nouvelle centrale électrique, de grand parc et bien autres.

Il y a plusieurs catégories, et chaque élément nécessite un certain nombre de point et parfois que certain élément avant soient débloqué. Ainsi ce système vous permet de choisir dans quoi vous allez investir, quel transport allez vous choisir, quelle centrale, allez vous boosté le système de santé de votre ville ou la sécurité. Vous être libre et ainsi deux parties peuvent être bien différente selon les choix fait ici.

Bonne ambiance et peu difficile

Pour finir je peut mentionné la difficulté du jeu qui n’est pas exceptionnelle. Si les premières heures il faut faire attention à son économie, sachant qu’il y a un peu plus de gestion dans les impôts et une aide gouvernementale. Il y a un risque d’être en difficulté. Cependant, si vous géré bien, ce qui n’est pas difficile il y a un moment où votre économie va s’emballé et vous allez généré massivement de l’argent.

Par exemple ma partie faite en live, générait plus de 6 millions au bout d’un moment. Et 6 millions d’excédant c’est beaucoup car très vite j’avais plusieurs dizaines de millions en réserve, or peu de chose coûte chère dans le jeu. Et à partir de ce moment là, le jeu n’offre aucune difficulté car cet emballement est difficile à renversé et ainsi l’argent n’est plus un problème.

Chose aussi étrange, il y a deux unités de calcul pour l’argent. Sur l’écran principal vous avez avec le survol sur votre trésorerie les gains par heure. Alors que dans le panneaux budget celui-ci est par mois, ce qui n’est pas forcément très clair. Heureusement qu’il y des petites flèches de couleurs verte ou rouge qui aide, bien que celle-ci peuvent bugué. Encore une fois dans la partie faite en live, cela fait plusieurs heure que le jeu n’indique que je perd de l’argent, alors que la trésorerie augmente.

D’une bonne idée à l’ennuie des radios

Petite tour sur la bande sonore du jeu qui est très cool avec quelques radios offrant plusieurs style de musique qui accompagne bien le jeu. Mais en plus d’avoir une bande sonore sympathique, le système de radio comporte des voix, pub, informations et interview fictive. Et c’est cool car cela fonctionne bien donne plus de ville à l’ensemble.

Le problème est simple, une partie de Cities : Skyline 2 ne dure pas une ou deux heures. Ainsi au bout d’un moment on les connait par cœurs les divers interventions, et deviennent vite chiante et perdent ainsi leur côté sympathique. Bien évidemment des mises à jour avec des ajouts peuvent limité cela, mais vont il le faire ? Toutefois, il est possible de les désactivé pour profité uniquement de la musique.

Autre chose, le “Twitter” in-game est toujours aussi utile, à savoir pas grand chose. Il est censé indiqué les soucis des habitants en fonction du nombre de like, mais ces problèmes sont facilement identifiable via les panneaux de statistiques et d’information que le jeu possède. Panneaux qui sont d’ailleurs plus riche en information.

Conclusion

Ainsi Cities : Skyline 2 est un très bon jeu, et repousse un peu plus loin le genre du city-building. Le jeu offre de bien meilleur panorama, mais aussi une simulation plus complète et complexe. Il vient aussi avec un contenu riche issue des 7 ans de son prédécesseur et de son suivit. Mais apporté également de sympathique nouveauté dans la construction avec des outils permettant une plus grande liberté de création. Mais aussi des nouveaux bâtiments, un très bon système d’amélioration ou le choix du style visuel de la ville. Tout cela en offrant une progression continu avec son “arbre de compétence” qui laisse du choix au joueurs. Le tout bien accompagné par une très bonne bande sonore rendu vivante par les fictives interactions à la radio.

Mais le jeu souffre de divers problème technique, notamment un gros soucis d’optimisation qui laisse ceux ayant de plus petite config PC sur le carreau. La simulation trop riche et complexe fait peiné bon nombre de PC faut d’optimisation. Toutefois, le jeu souffre aussi de défaut dans cette simulation, avec des soucis divers et varié. Alors bien que le studio soit au courant et lance patch après patch, il est dommage de subir cela. Car bon nombre de problème aurait pu être réglée en reportant la sortie de quelques mois. Aussi certain éléments comme les interventions à la radio laisse très vite par manque de variété, mais aussi les tweets qui n’a toujours pas une grande utilité.

Mon avis sur Cities : Skyline 2 : Très bon – 16/20

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